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Superbe performance de David Ferrer dimanche lors de la première journée du Masters, disputé à Shanghai. L'Espagnol s'est en effet offert le scalp du Serbe Novak Djokovic, numéro trois mondial, en deux manches (6-4, 6-4).

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Pour son premier match dans un Masters, Richard Gasquet (photo Reuters) n'a pas démérité. Opposé à Rafael Nadal, qu'il n'avait jamais battu en trois rencontres, le Français ne s'est incliné qu'au bout de trois manches très disputées et plus de 2 heures de jeu (3-6, 6-3, 6-4). Le Biterrois, dernier qualifié pour ce «tournoi des Maîtres», a bousculé le n°2 mondial, qui s'en est sorti en s'appuyant sur son physique et son extraordinaire tempérament de gagneur. Cette défaite inaugurale reste néanmoins encourageante pour le Français, tant il a brillé et enthousiasmé le public chinois ce dimanche.


Le début de match fut très équilibré, chacun des deux joueurs tenant parfaitement son service. Nadal n'eut qu'une seule occasion de break, à 2-2. Gasquet, lui, en eut trois. La dernière fut la bonne et le Français prit les devants pour mener 5-3. Il conclut la première manche dans la foulée grâce à un premier service très performant, une constante sur ce premier set.


Malheureusement pour lui, son pourcentage de première balle baissa au deuxième (50%) et le Français se fit rosser sur ses deuxièmes balles, avec seulement 29% de points remportés sur son second service. Légèrement apathique dans le premier set, le Majorquin joua plus juste, en mettant plus de densité dans ses coups, et fit le break à 2-1 puis à 3-2. Au physique, il enleva la deuxième manche, 6-3.


Le troisième set partit sur des bases très élévées, les deux joueurs se rendant coups pour coups. Moins tranchant sur son jeu de service à 2-2, Gasquet concéda le break. Malgré ses efforts et une balle de match écartée sur son service à 5-3, le Français dut finalement baisser pavillon face à un Nadal à nouveau conquérant en fin de set. Signe que la partie fut très serrée, l'Espagnol remporta un total de 85 points, contre 81 à son adversaire. Dans ce groupe or, Gasquet doit encore affronter Novak Djokovic et David Ferrer.

Niang le guide !

Mamadou Niang a encore frappé. Deux buts à Gerland et une omniprésence sur le front de l'attaque marseillaise. Le Sénégalais s'affirme dans l'axe de l'attaque phocéenne et Marseille retourve des couleurs dans le sillage de son avant-centre.

Il est celui qui montre la voie, celui qui impulse la dynamique au groupe olympien, celui, également, qui se montre décisif. Mamadou Niang est tout cela à la fois voire un peu plus encore. Depuis plusieurs mois, le Sénégalais s'est rendu indispensable. Ces dernières semaines ne font que mettre en relief l'apport de l'ancien Troyen. En deux semaines, Marseille a inscrit cinq buts, toutes compétitions confondues. Tous inscrits par Niang. Depuis son recentrage dans l'axe de l'attaque olympienne, le Sénégalais est irrésistible. Sa pointe de vitesse, sa puissance peuvent s'exprimer pleinement.

Mais la valeur ajoutée du Sénégalais réside dans sa faculté à conserver la belle et dans sa protection de balle. Grâce à ce point d'ancrage, tout le bloc équipe peut remonter, Valbuena déborder, la défense respirer. "J'essaie de m'adapter au dispositif tactique que le coach met en place. De toute façon, depuis le début de saison, j'ai joué à tous les postes. Peu importe où j'évolue. S'il faut que j"aille sur le côté pour qu'on gagne, j'irais. C'est clair que j"aimerais bien me stabiliser à un poste et plus précisément dans l'axe. Moi je suis un attaquant axial de formation" , prévient Niang.

Cissé condamné au banc ?

Face à Lyon, Niang a livré un match quasi parfait. Déjà auteur de trois buts lors des face aux Gones sous le maillot de l'OM, il a récidivé. Tout sauf un hasard car le bulldozer phocéen aime les équipes qui ne ferment pas le jeu et lui laissent l'espace nécessaire à son talent. Omniprésent sur le front de l'attaque ce dimanche, l'avant-centre olympien a vu sa performance récompensé d'un doublé. Un penalty provoqué puis transformé et une percée plein axe pour se jouer de la charnière centrale lyonnaise. Puissance et rapidité, on y revient. De quoi prolonger durablement le séjour du malheureux Djibril Cissé sur le banc car Niang n'est plus une alternative crédible dans l'axe mais bien une nécessité. Et Juninho de confier un brin amer : "Niang nous a fait mal."

Eric Gerets ne tarissait pas d'éloges sur son attaquant à l'issue de la victoire phocéenne : "La clé de notre victoire a été notre capacité à créer chaque fois du danger sur chacune de nos offensives malgré la pression de nos adversaires. Nous sentions que nous pouvions marquer à chaque instant. Niang a beaucoup pesé sur la défense." Avant de modérer ses propos : "Il est dommage que sur certaine situations, il n'est pas eu plus de sang froid pour marquer un autre but." Car voilà l'un des rares reproches que l'on peut encore formuler à l'égard de Niang. Parfois encore trop maladroit, trop "tête baissée" , Niang peut bafouiller dans le dernier geste. Un travers qu'il a toutefois largement gommé depuis ses années messines.

Une attaque complémentaire

Il faut dire qu'il évolue dans un système qui favorise ses qualités, en pointe d'un trident offensif complémentaire et efficace. Derrière le Sénégalais, les deux créateurs-dribbleurs Nasri et Valbuena, pas avares en offrandes. La complicité entre les deux poids plumes et Niang saute aux yeux. Adeptes du jeu court à terre, des remises rapides, les trois Marseillais ont martyrisé l'arrière-garde des sextuples champion de France. En témoigne la passe en profondeur de Nasri sur le deuxième but marseillais et les multiples combinaisons sur le front de l'attaque phocéenne. "Ce soir, cela nous a souri. On a bien sorti le ballon, on a trouvé des bonnes combinaisons. Il faut continuer à jouer comme cela, à provoquer. Il ne faut pas avoir peur de jouer et c'est par le jeu que l'on va s'en sortir", jugeait Niang dans les couloirs de Gerland. Avant d'ajouter : "Je ne suis pas le sauveur de l'OM." Le sauveur peut-être pas, le guide assurément.

Fernando Gonzalez (CHI/N.7) bat Roger Federer (SUI/N.1) 3-6, 7-6 (7/1), 7-5

Defaite de federer pour son premier match de poule

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Après avoir été battu dimanche par Rafael Nadal (3-6, 6-3, 6-4) pour son entrée dans le Masters, Richard Gasquet (photo Reuters) a disposé ce mardi en deux manches (6-4, 6-2) et 1h25' de jeu du Serbe Novak Djokovic, n°3 mondial. Dans le choc 100% espagnol, David Ferrer a pris le meilleur sur son compatriote Rafael Nadal en trois manches (4-6, 6-4, 6-2) et 2h40' d'une intensité incroyable. Tout est encore possible dans ce groupe or, dont la dernière journée aura lieu jeudi avec au programme Nadal-Djokovic et Ferrer-Gasquet. Seul le Serbe ne peut plus prétendre à la qualification en demi-finales.


La confirmation de Gasquet


La belle résistance offerte à Rafael Nadal dimanche n'était donc pas un feu de paille. Gasquet a confirmé mardi qu'il était bien dans son Masters et qu'il était plus que jamais candidat aux demi-finales. Mieux rentré dans le match, le Biterrois n'a laissé aucune chance à son adversaire, qui connaît ici son deuxième revers après celui subi face à David Ferrer (6-4, 6-4). «La clé, c'est qu'il n'a pas très bien servi. Et que moi, j'ai bien servi. Sur une surface aussi rapide, c'est important» a expliqué au micro de Canal+ le Français, qui a remporté 77% des points disputés sur sa première balle, contre seulement 50% à Djokovic. Le Serbe, qui disputait son 86e match de l'année, a paru carbonisé et fut souvent hors du coup.


Comme face à David Ferrer, Djokovic démarra au ralenti et concéda son service au troisième jeu puis au cinquième. Menant 4-1 sans avoir eu à forcer son talent, le Français perdit sa mise en jeu et vit son adversaire revenir à 4-3. Le n°8 mondial réussit néanmoins à conserver un break d'avance pour remporter sur son service et avec autorité la première manche 6-4 en 45'.


Le début de la seconde manche, marqué par deux breaks successifs, fut plus équilibré et l'on crut un instant que le grand Djokovic, celui qui a gagné trois Masters Series cette saison, était de retour. Mais à 2-2, le Serbe passa complétement à côté de son jeu de service et laissa le Biterrois s'échapper. Gasquet, appliqué et concentré, enchaîna 4 jeux d'affilée pour régler l'affaire en moins d'une heure et demie. Avec une victoire et une défaite dans ce groupe or, le Français jouera un match décisif face à Ferrer jeudi. «C'est peut-être le meilleur relanceur du circuit. Cela va être dur» a reconnu Gasquet.


Ferrer, l'homme de fer


La démonstration de force exécutée par David Ferrer face à Novak Djokovic dimanche (6-4, 6-4) n'est donc pas restée sans suite. Mardi, le n°6 mondial a remis ça face à un adversaire d'un tout autre calibre au niveau physique, l'insubmersible Rafael Nadal. Entre les deux hommes, le combat fut intense et le tennis proposé, souvent magnifique. Le résultat fut identique aux 8es de finale de l'US Open où l'aîné des deux Espagnols s'était imposé en quatre sets...


Nadal, qui avait raté son entame de match face à Gasquet dimanche, répondit tout de suite présent en réalisant trois breaks successifs pour mener 4-1. Ferrer mit du temps à démarrer et, malgré une balle pour revenir à 4-4, il dut s'incliner sur une nouvelle faute en coup droit, son talon d'Achille dans ce premier set.


Le deuxième set atteignit des sommets avec notamment un 5e jeu exceptionnel. A 2-2, Ferrer sauva 3 balles de break pour rester devant. La fin du set fut extrêmement disputé avec trois breaks successifs. Comme face à Djokovic, Ferrer se révéla très solide sur les points importants. Il convertit ainsi deux de ses trois balles de break - contre seulement une sur six pour Nadal - et égalisa à une manche partout.


Sur sa lancée, le n°6 mondial fit le break dans le troisième set, à 2-1 puis à 4-1. Il y eut bien un dernier sursaut de Nadal qui revint à 5-3 mais c'était trop tard et Ferrer emportait la mise sur un dernier jeu blanc. Avec ses deux victoires en deux matches, Ferrer est très bien placé pour atteindre les demi-finales mais la décision pourrait se faire au set-average, voire au nombre de jeux marqués, en fonction du résultat des dernières rencontres.

Super Richard

Je lui tire mon chapeau !

c'est bien tout sa mais maintenant faut battre ferrer et si il arrive pas a battre nadal il va se faire defoncé par ferrer ^^

mais j'espere quand meme une victoire francaise

Ca va être dur contre Ferrer

Lucas : Si on perd c'est fini !


L'attaquant italien du Bayern Munich, Luca Toni, est prêt à jouer un match à quitte ou double contre l'Ecosse. Toni revient également sur la situation difficile du football italien et demande à ce que la famille du football "s'unisse contre la violence".

LUCA TONI, en évoquant les récents événements, votre capitaine Fabio Cannavaro a dit qu'il avait de la chance de jouer à l'étranger. Vous qui êtes au Bayern Munich, partagez-vous son opinion?

L. C. : Je ne dirais pas cela. Mais c'est évident, dans le championnat d'Allemagne, ce genre de choses ne se seraient pas produites. Lors des matches du Bayern, il y a 69.000 spectateurs, et la majeure partie sont des enfants et des familles. Il n'y a pas de groupes d'ultras organisés. Les gens viennent au stade trois heures avant mais seulement pour manger, boire et faire la fête. Il n'y a jamais de problèmes. C'est ce qui manque en Italie.

Comment faire pour mettre un terme aux violences des tifosi les plus radicaux?

L. C. : Il l'ont fait en Allemagne et en Angleterre, alors pourquoi pas en Italie? Arrêtons les délinquants qui tiennent en otage les clubs, unissons les forces de police, les dirigeants et l'ensemble du monde du football. Tous ensemble, nous pouvons trouver une solution afin de restituer ce sport aux vrais passionnés. Je suis convaincu que nous y parviendrons.

La suspension des matches, c'est une bonne mesure?

L. C. : "Cela n'a de sens qui si on réfléchit. Il faut agir, mettre en vigueur des lois sévères, écarter ces délinquants qui empêchent les gens normaux de venir au stade et qui, en plus, font tout sauf regarder le match. On doit les empêcher d'être les patrons et leur montrer que nous faisons ce que nous voulons. Nous voulons un autre football.

Ces événements ne perturbent-ils votre préparation de la rencontre face à l'Ecosse?

L. C. : Même si nous sommes tous extrêmement touchés, le match, c'est autre chose, cela n'a rien à voir.

Etes-vous nerveux à l'idée de jouer une sorte de quitte ou double à Glasgow?

L. C. : Non. On sait très bien que si on perd, c'est fini (Luca Toni estimant que la France ne peut pas perdre en Ukraine le 21 novembre, ndlr). Nous allons jouer deux années de travail en 90 minutes, mais d'aucune manière je ne veux prendre en considération l'hypothèse de ne pas aller à l'Euro. Nous sommes l'Italie, les champions du monde. A Glasgow, nous allons trouver une formidable ambiance, mais, sur le terrain, nous serons onze contre onze. Et puis eux aussi (les Ecossais, ndlr) jouent tout sur un match.

Un nul pourrait cependant suffire à l'Italie pour se qualifier (à condition de battre les îles Féroé quatre jours plus tard).

L. C. : Jouer le nul, c'est risquer de prendre une raclée.

Federer au dessus du lot !


Impérial face à Rafael Nadal expédié en deux sets, Roger Federer rejoint David Ferrer en finale de la Masters Cup, où il défendra son titre. Après un premier match perdu d'entrée de compétition, le N.1 mondial a fait définitivement taire les mauvaises langues qui le pensait en plein déclin.

MASTERS CUP - Demi-finales

Roger Federer (SUI/N.1) bat Rafael Nadal (ESP/N.2) 6-4, 6-1
Face-à-face: 8-6 pour Nadal. Prochain adversaire: Ferrer
> Le film du match

Les années se suivent et se ressemblent. Comme en 2006, Rafael Nadal a battu Roger Federer en finale de Roland-Garros, avant de céder en finale de Wimbledon... puis en demi-finale de Shanghaï. C'était donc écrit que le Suisse allait passer l'Espagnol pour jouer sa cinquième finale de suite en Masters Cup où il pourra défendre son titre. Mais rien n'allait prédire que ce Nadal-là allait être en dessous de son niveau habituel.

Ce compétiteur hors-pair sait gérer les matches importants, surtout face au Suisse qu'il a battu à huit reprises en trois saisons aussi bien sur terre battue que sur dur. Mais ce samedi n'était pas le jour de l'Ibérique qui a lâché prise après 35 minutes de jeu. C'est pourtant lui qui s'est créé la première occasion de break au septième jeu de la partie, que Federer a aussitôt effacée d'une montée gagnante au filet, il est vrai bien aidé par 82% de premières balles. Dix minutes plus tard, c'est au tour de Nadal d'être testé sur sa mise en jeu avec trois balles de set à négocier sur son service...

Nadal : "Il jouait comme un fou"

Roger Federer prenant le jeu à son compte, c'est logiquement que le Suisse remportait la première manche d'une accélération en coup droit imparable après 36 minutes de jeu. La suite de la rencontre ne sera qu'un cavalier seul du N.1 mondial qui alignera sept jeux de suite avant que Nadal ne rétorque sur jeu blanc. Réaction trop tardive qui verra le Suisse remporter le match sur sa seconde balle de match en moins d'une heure de jeu! Une première pour Federer face à Nadal.

"J'étais très fatigué mais je m'appliquais rester dedans, à me battre, expliquait Nadal. Mais vous avez vu comment il a joué alors: comme un fou, sans plus faire une faute. Rien à dire. Juste bravo. Lorsqu'il joue comme ça il est impossible à arrêter." Et Federer de répondre : "C'était un de ces soirs... je suis entré dans un état de grâce et j'ai joué de manière incroyable. J'aimerais jouer toujours comme ça contre lui, malheureusement ce n'est pas facile."

Après avoir chuté d'entrée de compétition face à Fernando Gonzalez, "Rodgeur" s'est remis en selle en l'espace de deux jours en expédiant tour à tour Andy Roddick et Rafael Nadal, qui bute pour la seconde fois de suite en demi-finale de Masters Cup. De son côté, Federer jouera sa cinquième finale de suite en six participations, sa douzième finale de l'année, pour retrouver l'homme en forme du moment : David Ferrer, toujours invaincu en Masters Cup mais jamais vainqueur face au Suisse après sept confrontations...

David Ferrer (ESP/N.6) bat Andy Roddick (USA/N.5) 6-1, 6-3
Face-à-face: 3-2 Ferrer. Prochain adversaire: Federer
> Le film du match

David Ferrer s'est qualifié pour sa première finale de Masters Cup à Shanghaï en battant Andy Roddick en deux sets. Pour sa première participation, l'Espagnol jouera Roger Federer en finale et est assuré de finir la saison au moins à la 5e place mondiale, son meilleur classement.

Raph' a écrit:

Lucas : Si on perd c'est fini !


L'attaquant italien du Bayern Munich, Luca Toni, est prêt à jouer un match à quitte ou double contre l'Ecosse. Toni revient également sur la situation difficile du football italien et demande à ce que la famille du football "s'unisse contre la violence".

LUCA TONI, en évoquant les récents événements, votre capitaine Fabio Cannavaro a dit qu'il avait de la chance de jouer à l'étranger. Vous qui êtes au Bayern Munich, partagez-vous son opinion?

L. C. : Je ne dirais pas cela. Mais c'est évident, dans le championnat d'Allemagne, ce genre de choses ne se seraient pas produites. Lors des matches du Bayern, il y a 69.000 spectateurs, et la majeure partie sont des enfants et des familles. Il n'y a pas de groupes d'ultras organisés. Les gens viennent au stade trois heures avant mais seulement pour manger, boire et faire la fête. Il n'y a jamais de problèmes. C'est ce qui manque en Italie.

Comment faire pour mettre un terme aux violences des tifosi les plus radicaux?

L. C. : Il l'ont fait en Allemagne et en Angleterre, alors pourquoi pas en Italie? Arrêtons les délinquants qui tiennent en otage les clubs, unissons les forces de police, les dirigeants et l'ensemble du monde du football. Tous ensemble, nous pouvons trouver une solution afin de restituer ce sport aux vrais passionnés. Je suis convaincu que nous y parviendrons.

La suspension des matches, c'est une bonne mesure?

L. C. : "Cela n'a de sens qui si on réfléchit. Il faut agir, mettre en vigueur des lois sévères, écarter ces délinquants qui empêchent les gens normaux de venir au stade et qui, en plus, font tout sauf regarder le match. On doit les empêcher d'être les patrons et leur montrer que nous faisons ce que nous voulons. Nous voulons un autre football.

Ces événements ne perturbent-ils votre préparation de la rencontre face à l'Ecosse?

L. C. : Même si nous sommes tous extrêmement touchés, le match, c'est autre chose, cela n'a rien à voir.

Etes-vous nerveux à l'idée de jouer une sorte de quitte ou double à Glasgow?

L. C. : Non. On sait très bien que si on perd, c'est fini (Luca Toni estimant que la France ne peut pas perdre en Ukraine le 21 novembre, ndlr). Nous allons jouer deux années de travail en 90 minutes, mais d'aucune manière je ne veux prendre en considération l'hypothèse de ne pas aller à l'Euro. Nous sommes l'Italie, les champions du monde. A Glasgow, nous allons trouver une formidable ambiance, mais, sur le terrain, nous serons onze contre onze. Et puis eux aussi (les Ecossais, ndlr) jouent tout sur un match.

Un nul pourrait cependant suffire à l'Italie pour se qualifier (à condition de battre les îles Féroé quatre jours plus tard).

L. C. : Jouer le nul, c'est risquer de prendre une raclée.

Ecosse 1-2 Italie

En s'imposant en Ecosse (1-2) grâce à un but à la dernière minute de Christian Panucci, l'Italie se qualifie pour l'Euro 2008. Elle offre surtout le second billet aux Bleus avant même leur match à Kiev, mercredi. Le match en Ukraine comptera donc pour du beurre.

Grazie mille ! Que dire d'autre sinon un grand merci à l'Italie pour avoir fait le boulot en Ecosse ? La France est à l'Euro avant l'heure et elle le doit à son bourreau en finale de la dernière Coupe du monde. Le football est ainsi fait : les rivaux d'hier étaient les alliés du jour. Pour mieux s'expliquer l'été prochain lors de la phase finale ? C'est une autre histoire et il est heureux, pour les deux camps, d'avoir un peu plus de six mois pour digresser sur cette éventualité.

L'Italie, qui aime bien chahuter Raymond Domenech, a donc donné tort au sélectionneur des Bleus. L'homme du 9 juillet avait en effet prédit que la qualification française se jouerait à Kiev. Mais on imagine que Domenech doit être le premier heureux de cet augure pour une fois manqué. "Raymond la science" voyait un nul mais l'Italie a décidemment bien choisi son jour pour sa première victoire en Ecosse. Hampden Park, lui, pleure encore cette occasion manquée. Dix ans que les Ecossais n'ont plus vu une phase finale ailleurs qu'à la télévision. Cet été encore, ce sera pizza, bière et télécommande.

Héros au Parc, maudit au Park

Un but à chaque extrémité du match, vous avez dit réalisme ? Andrei Chevtchenko, qui connaît la casa, avait dit fort justement : "L'Italie sait que gagner les matches que les autres ne gagneraient pas." Bien vu ! Dès la première minute, Luca Toni, sur une passe du très bon Di Natale, surprenait une défense britannique encore aux vestiaires. Stupeur à Hampden et sur le banc d'Alex McLeish. Toni, cauchemar des locaux après son doublé à l'aller. Les Transalpins avaient émis des doutes sur la capacité écossaise à résister à la pression. Bien vu là encore. D'ailleurs, dans la minute suivante, Camoranesi, bien servi par un Toni déchaîné, ratait le KO.

Totalement étouffés au milieu (quelle triplette Pirlo-Gattuso-Ambrosini !), les Ecossais s'en remettaient aux coups de pied arrêtés comme ce corner pour la tête de Weir sauvé sur sa ligne par Pirlo, juste avant la pause. À la reprise, l'Ecosse chargeait à son tour et à sa façon : physique, enthousiaste et désordonnée. À l'heure de jeu, la poussée portait ses fruits grâce à Ferguson (héroïque dans le jeu) sur un coup-franc mal bloqué par Buffon. Dix minutes, plus tard, McFadden ratait l'immanquable en ne cadrant pas dans le but vide sur un centre de Miller. Héros au Parc, maudit au (Hampden) Park. Le tournant du match et du groupe. Dans les arrêts de jeu, Pirlo déposait un coup-franc sur la tête victorieuse de Panucci. L'Italie est à l'Euro, la France aussi.

Pour un fois j'ai qu'une chose à dire: MERCI L'ITALIE !!

Citation :

Roger Federer a remporté le Masters de Shanghai. Le Suisse s'est imposé dimanche en finale face à l'Espagnol David Ferrer (6-2, 6-3, 6-2) et s'adjuge ainsi le 53e titre ATP de sa carrière.


La même rengaine, presque inlassablement. Pour la quatrième fois en cinq ans, la photo du vainqueur du Masters affiche le visage souriant de Roger Federer. Si David Nalbandian était parvenu à rompre l'hégémonie du maître en 2005, David Ferrer n'a lui pas réussi à créer pareille surprise. L'Espagnol a bouclé sa première participation au tournoi final de la saison, contre six pour Federer, en perdant l'euphorie qui l'avait gagné au fil des jours passés en terre asiatique. Capable de s'adapter au jeu de Nadal et Djokovic, dauphins de Federer au sommet de la hiérarchie mondiale, et de les vaincre, le Valencian n'a pu faire de même contre le n°1. Car l'autorité du maître a semblé à tous les instants trop forte pour être mise en doute.

Objectif 2010

Qualifiés pour l'Euro 2008, les Bleus ne cachent pas leur soulagement alors qu'ils auraient pu disputer un match décisif en Ukraine. Mais Raymond Domenech voit plus loin et a déjà fixé l'objecif en Suisse et en Autriche : préparer la Coupe du monde 2010.

Pour une fois, Raymond Domenech n'a pas eu raison. Après avoir donné rendez-vous aux Bleus le 9 juillet 2006 à Berlin en finale de la Coupe du monde, le sélectionneur répétait depuis le début des éliminatoires que tout se jouerait en Ukraine le 21 novembre 2007. Mais le déplacement à Kiev ne sera pas finalement décisif. Merci l'Italie ! Et ce ne sont pas les Français qui s'en plaindront. "On se préparait à jouer un match important en Ukraine. Une qualification c'est très long, on est très heureux. Les Italiens ne nous ont pas épargnés en attendant les arrêts de jeu pour le faire. Ça n'a pas été simple. Je me disais, le coach va encore avoir raison. Il nous tannait avec son match nul", s'est montré soulagé Mickaël Landreau qui a désobéi à Domenech et regardé le match lors d'un quartier libre à Clairefontaine. "C'était un groupe pas simple, avec les Ukrainiens qu'il ne faut pas oublier".

Du côté de la Fédération Française, on ne cache pas non plus son soulagement après le coup de pouce de Christian Panucci à Hampden Park. Car le déplacement en Ukraine n'avait rien d'évident. "C'est bien d'être qualifiés avant d'aller en Ukraine, car on ne sait jamais ce qui peut se passer quand ça se joue sur un dernier match. Mercredi, ce sera peut-être le dernier match d'Oleg Blokhine (sélectionneur de l'Ukraine). Ses joueurs auraient voulu faire un résultat contre la France", souligne ainsi le DTN Gérard Houiller. "Ça a été terrible jusqu'à la 92eme minute. J'ai un sentiment de joie. J'avais peur que notre équipe soit frustrée, qu'elle aille jouer à la roulette ukrainienne la qualification dans des conditions difficiles", avoue de son côté le président de la FFF, Jean-Pierre Escalettes.

"Un grand bravo à Domenech"

Pour Domenech, sur la sellette après son doublé échec face à l'Ecosse, l'heure est donc aux félicitations. "Encore un grand bravo à Raymond Domenech ! Ca fait deux campagnes qualificatives réussies pour lui (Mondial 2006 et Euro 2008)" , applaudit Houllier, ancien entraîneur de Lyon, qui a parfois eu maille à partir avec le patron des Bleus. Mais il faut reconnaître que la tache était loin d'être évidente pour une équipe en reconstruction opposée à l'Italie ou l'Ukraine. "Ce n'était pas simple après une finale de Coupe du monde, le départ de Zizou, il fallait confirmer. C'est super d'être qualifié", rappelle Landreau. Mais l'équipe de France a su retenir ses anciens pour conduire sa mission à bien. "Avec le potentiel que nous avons, nous avons réussi à amalgamer deux générations et une troisième pointe son nez. L'expérience qu'ont acquis les Abidal, Malouda, Ribéry en Allemagne, j'espère que les Ben Arfa, Benzema, Nasri arriveront à l'acquérir en Suisse et en Autriche" , espère désormais Jean-Pierre Escalettes.

Car, la qualification en poche, les cadres du football français sont déjà tournés vers l'avenir. La préparation de l'Euro débute aujourd'hui. "Nous avons peu de matchs avant le championnat d'Europe pour voir plusieurs joueurs, a encore expliqué Houllier sur RTL. En cas de blessures, de méforme, il doit faire une revue d'effectif". Au programme des Tricolores se profilent notamment des matches amicaux contre l'Espagne, l'Angleterre et la Roumanie. Raymond Domenech aurait pourtant préféré préparer la compétition en disputant une finale face à l'Ukraine. "J'avais envie d'avoir raison pour l'Ukraine, d'avoir besoin de faire un match décisif en Ukraine, a-t-il regretté. Je regrette que ça ne soit pas un match décisif, un match couperet pour toute une génération, un match où on peut disparaître: tout ça, ça forge une génération."

Objectif 2010

Mais, alors que l'on s'attendait à voir le sélectionneur fixer rendez-vous au 29 juin 2008, date de la finale à Vienne, il a une nouvelle fois pris tout le monde à contre-pied en évoquant... 2010. "On a une équipe qui est en maturation, qui est en train de se construire, de se renouveler, il n'y a pas une génération suffisamment mûre pour qu'on soit favoris. On a une équipe en mutation", explique-t-il, refusant l'étiquette de favori. L'Euro 2008 doit donc servir de tremplin pour le Mondial 2010, à l'image de ce qu'Aimé Jacquet avait accompli lors de l'Euro 1996. C'est d'ailleurs pour cela que Thuram et Makelele seront toujours là l'été prochain en Autriche et en Suisse. Afin de transmettre le flambeau. "Sans problème et en plus j'y tiens. Pour moi c'est indispensable que les cadres soient présents et solides. Ils seront là parce qu'ils amènent plus que ce qui se passe sur le terrain", a déjà assuré Domenech qui est le mieux placé pour savoir que c'est aussi le meilleur moyen d'enlever toute pression à ses troupes.

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Information L'Equipe : Sébastien Frey sera le gardien titulaire de l'équipe de France ce soir à Kiev face à l'Ukraine (20h30). Le portier de la Fiorentina fêtera donc sa première sélection chez les Bleus, lui qui est hiérarchiquement le numéro trois derrière Coupet (actuellement blessé) et Landreau. Raymond Domenech avait pourtant laissé entendre mardi à Clairefontaine que Mickaël Landreau partait pour être aligné.


« Il y a toujours des options. Mais je reste très prudent sur le poste de gardien de but. Pour moi, il y a une hiérarchie. Après, selon les circonstances, on peut réfléchir à des possibilités. Mais je ne vais pas titulariser un joueur pour faire un cadeau », a indiqué hier Domenech avant de lâcher : « Le grand problème des gardiens de but, c'est que pour prendre la place de quelqu'un, il faut que l'autre meure avant. » Le sélectionneur avait ensuite fini sa tirade en affirmant qu'il avait « Des interrogations sur certains mais pas sur ''Micka''. Je connais ses qualités. »

L'angletterre en enfer !

En retrait depuis de nombreuses années sur la scène internationale, la sélection a fini par se prendre les pieds dans le tapis et ne disputera pas l'Euro 2008. Tout sauf une surprise alors que le football anglais, séduisant de loin, souffre de maux récurrents et profonds.

Plus rien ni personne ne peut sauver l'Angleterre. Pas même Dieu, qui avait déjà du boulot avec la Reine. Eliminés piteusement de l'Euro 2008 par un mercredi pluvieux, les Anglais vont avoir quelques mois pour gamberger. Réfléchir à ce qui n'a pas fonctionné, aux raisons qui font de l'équipe nationale anglaise n'est pas au niveau des meilleures sélections du Vieux Continent, et surtout repartir de l'avant en vue de la campagne qualificative pour la Coupe du monde 2010. Absente d'une grande compétition internationale pour la première fois depuis 1994, la sélection jusqu'alors dirigée par Steve McClaren paie cash des insuffisances qui minent l'Angleterre depuis de nombreuses années.

Si le championnat est une vitrine, une compétition des plus attractives et d'un niveau bien plus élevé depuis l'ouverture de ses frontières et l'arrêt Bosman, la sélection nationale a dans le même temps plongé. La relation de cause à effet est à prendre en compte, même si l'Angleterre n'a pas attendu la dernière décennie pour ne plus être au niveau des toutes meilleures nations. L'afflux de joueurs étrangers a inondé la Premier League, permettant parfois à certains clubs - ce fut le cas de Chelsea à la fin des années 90 et aujourd'hui d'Arsenal - de pouvoir présenter des équipes performantes sans joueur anglais sur le terrain. Bloqués par les stars venues de différents horizons, les jeunes n'ont pu percer. La sélection nationale en paie les conséquences.

Aujourd'hui, la Premier League se défend. Mais peine à convaincre : "La Premier League est le championnat le plus réputé du monde. Il emploie les meilleures stars du monde et 355 joueurs anglais. On ne peut pas continuer à chercher des noises à la Premier League en expliquant que c'est de sa faute si on n'a pas des tonnes de joueurs fantastiques", s'emporte son président David Richards. "Nous serions les premiers à admettre qu'il y a quelque chose de pourri dans le système (...). Mais arrêtez de dire que c'est de la faute de la Premier League. Les racines sont plus profondes. La Premier League travaille très dur pour ses centres de formation. Elle dépense 100 millions de livres par an pour entraîner ses jeunes vedettes." Des "jeunes vedettes" qui n'ont que rarement leur chance dans les meilleures écuries du pays.

Une culture tactique insuffisante

L'Angleterre a tout de même ses stars. Si le vivier semble moins profond que celui du football français par exemple - il n'y a qu'à se pencher sur le onze aligné par McClaren mercredi - les Steven Gerrard, Frank Lampard et compagnie sont loués par les observateurs du monde entier et restent des joueurs majeurs. Rois en leur royaume, ils semblent pourtant faire un blocage lorsqu'il s'agit de défendre les couleurs de leur pays. Un blocage en partie psychologique mais surtout footballistique. Pour Graham Taylor, ancien sélectionneur anglais qui était aux commandes lors du fiasco de la course à la Coupe du monde 1994, les problèmes sont profonds. "Il n'y a qu'à regarder nos résultats sur la scène internationale depuis de nombreuses années. Nos problèmes vont au-delà du sélectionneur", expliquait-il juste après la défaite en Russie le mois dernier.

Selon lui, les Anglais ne parviennent pas à s'adapter au football continental. C'est une question en partie culturelle. En Premier League, le kick and rush a laissé la place à un football plus léché au fil des années. Mais grâce aux étrangers. Ceux-ci ont apporté une qualité technique et tactique que les locaux n'avaient pas. Si les Gerrard et Lampard leur ressemblent de plus en plus et ont beaucoup appris à leurs côtés, ceux-ci n'ont pas encore complètement assimilé cette culture tactique indispensable lors des joutes internationales. Et ça se sent.

Si les hommes alignés sur le terrain et notamment les gardiens de but, un problème récurrent et dont les boulettes succèdent aux toiles, ont leur part de responsabilité évidente après l'échec de cette campagne, Steve McClaren n'est pas tout blanc. Viré jeudi après dix-huit mois de loyaux services, à défaut d'être bons, le sélectionneur n'a jamais eu de ligne directrice claire ni de tactique établie une bonne fois pour toutes. S'il a dû composer avec de nombreuses blessures tout au long de la campagne, l'ancien adjoint de Sven-Goran Eriksson a fait des erreurs. Son opération rajeunissement et la mise à l'écart de David Beckham après la Coupe du monde 2006 est évidemment l'une d'entre elles. Une erreur d'autant plus flagrante qu'il s'est résolu à rappeler le Spice Boy - toujours irréprochable sur le terrain et par son comportement - quelques mois après. Beaucoup de temps perdu. Mais rien comparé à la traversée du désert que l'Angleterre entame.

23/11/2007 13:24

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Pete Sampras a une nouvelle fois subi la loi de Roger Federer, jeudi à Kuala Lumpur en Malaisie, pour le deuxième acte des trois rencontres de prestige programmées entre les deux hommes. Par rapport à mardi dernier, le Suisse a toutefois rencontré plus de difficultés à se défaire de son illustre aîné car c'est au terme de deux jeux décisifs que le numéro un mondial a eu raison de l'Américain (7-6[6], 7-6[5]).


A l'issue du match, le récent vainqueur du Masters de Shanghai a avoué ses grosses difficultés à «lire le service» de son adversaire durant tout le match. Federer s'est aussi montré très élogieux à l'égard de celui qui à 36 ans, «pourrait faire partie du Top 5 s'il jouait encore». Des compliments flatteurs qui n'ont pas fait changer d'avis l'intéressé, concernant un éventuel retour à la compétition. «Non. Il faut être très résistant pour mener ce style de vie. Je suis heureux avec ma femme et mes deux enfants à Los Angeles. Je me repose.»


Il reste maintenant une dernière occasion à Pete Sampras de montrer qu'il n'a rien perdu de son talent. Ce sera samedi à Macao, lors du troisième et dernier match exhibition du "choc des époques".

CM 2010 - Tirage des éliminatoires

Groupe A : Albanie, Malte, Hongrie Danemark, Suède, Portugal


Groupe B : Lettonie, Luxembourg, Moldavie, Suisse, Israël, Grèce


Groupe C : San Marin, Slovénie, Slovaquie, Irlande du Nord, Pologne, République Tchèque


Groupe D : Azerbaïdjan, Liechtenstein, pays de Galles, Finlande, Russie, Allemagne


Groupe E : Arménie, Estonie, Bosnie Herzégovine, Belgique, Turquie, Espagne


Groupe F : Andorre, Kazakhstan, Belarus, Ukraine, Angleterre, Croatie


Groupe G : Autriche, Iles Féroé, Lituanie, Serbie, Roumanie, France


Groupe H : Géorgie, Montenegro, Chypre, Eire, Bulgarie, Italie


Groupe I : Islande, République de Macédoine, Norvège, Ecosse, Pays-Bas

Citation :

La possible construction d'un circuit moderne en Serbie, déjà évoquée avec Bernie Ecclestone en début d'année, a tenu une large place dans les discussions entre le président de la Fédération internationale (FIA) Max Mosley et le Premier ministre Vojislav Kostunica, vendredi à Belgrade. «M. Mosley a indiqué que les projets de la FIA prévoyaient la construction d'un autodrome moderne en Serbie, ainsi que d'un polygone pour des véhicules spécialisés», a indiqué le Premier ministre.


«La construction d'un tel circuit, a poursuivi Vojislav Kostunica, aurait une grande importance pour le développement du sport automobile en Serbie, pour le tourisme et la promotion du pays.» Et comme nouveau fer de lance du sport automobile serbe, Milos Pavlovic, troisième du Championnat de Formule Renault, semble le mieux placé. Il pourrait faire prochainement son apparition en F1.

SOURCE : AFP et LEQUIPE.FR

Audi a annoncé que trois prototypes R10 diesel seraient engagés lors des 24 Heures du Mans, les 14 et 15 juin prochains. L'annonce a été officialisée vendredi à Essen, en Allemagne, où se tient le Salon du sport automobile lors duquel le constructeur allemand a aussi confirmé le nom des trois équipages qui piloteraient. Il s'agira en fait des mêmes trios de pilotes qu'en 2007, dont les vainqueurs Frank Biela, Emanuele Pirro et Marco Werner.


Par ailleurs, outre le programme habituel en American Le Mans Series (ALMS), Audi a affirmé son intention d'ajouter un programme en Europe. Actuellement à l'étude, cette inovation est toutefois soustraite à deux conditions : que la catégorie LMP1 soit reconnue comme la catégorie-reine par l'Automobile-Club de l'Ouest (ACO), organisateur des 24 Heures du Mans, et «qu'un bon marketing télévisé» soit assuré par les organisateurs européens de ces six courses.

Citation :

Le Werder Brême est toujours aussi irrésistible. Victorieux de Hambourg (2-1) samedi, les protégés de Thomas Schaaf en ont profité pour s'emparer provisoirement de la première place, devant le Bayern Munich, qui aura cependant l'occasion de reprendre son bien dimanche à Bielefeld (17h00). Mais, outre l'aspect comptable, c'est bien la facilité avec laquelle Diego et ses équipiers ont dominé le HSV qui a impressionné du côté du Weserstadion. Car, si le score peut sembler serré à première vue, il n'en a rien été de cette affiche. Ou presque.


Rapidement mis sur orbite par l'inévitable Sanogo (15e), auteur de son septième but en Bundesliga cette saison, les Verts et Blancs n'ont tremblé que trois petites minutes dans cette rencontre. Le temps pour Pasanen d'asseoir définitivement le succès de son équipe d'une frappe détournée en pleine lucarne par le malheureux Kompany tout juste entré en jeu (63e). Le temps aussi pour le Finlandais de rattraper une grossière erreur de son gardien Vander. En voulant relancer sa formation de la main, l'ancien portier de Bochum a directement trouvé Rafael van der Vaart, qui ne s'est pas fait prier pour égaliser d'un lob inspiré (60e). Ce but reste finalement anecdotique. Invaincu depuis dix rencontres (huit victoires, deux matches nuls), le Werder s'affiche comme un candidat sérieux à la succession de Stuttgart.


Le champion en titre n'aura, lui, sans doute pas cette chance. Alors qu'il semblait sur la voie de la rédemption après une entame de championnat catastrophique (six défaites lors des dix premières journées), le VfB a de nouveau chuté sur sa pelouse face à Dortmund (1-2). Une défaite synonyme de coup d'arrêt pour les équipiers de Mathieu Delpierre, qui restaient pourtant sur quatre succès d'affilée. Le Français, auteur d'un but contre son camp, retombe avec sa formation à une anonyme huitième place, à déjà huit points du podium. Un peu plus haut, les autres prétendants aux premières places n'ont, eux, pas tremblé. Schalke 04, sixième, s'est imposé face à Bochum (1-0), tandis que le Bayer Leverkusen, quatrième, a empoché sur la pelouse du Hertha Berlin (3-0), son quatrième succès en autant de rencontres. Au final, seul Karlsruhe, étonnant cinquième, a perdu des points dans cette course à l'Europe. Le promu a vécu un retour à la réalité brutale à Cottbus (0-2).


Dimanche : le Bayern doit l'emporter

Auteur d'un nul poussif en Coupe de l'UEFA (1-1 à Braga) et en petite forme en Bundesliga (une victoire en quatre matches), le Bayern Munich va passer au révélateur ce week-end. La victoire du Werder face à Hambourg (2-1) l'oblige à l'emporter à Bielefeld s'il veut récupérer la première place. Il sera intéressant de voir comment se débrouillent les hommes d'Ottmar Hitzfeld sous pression, un terme peu familier pour eux depuis le début de l'exercice. Si Willy Sagnol a retrouvé le terrain au Portugal (il est rentré à la dernière minute de jeu), il ne devrait toutefois pas débuter face à l'Arminia. Le sort de Valérien Ismaël au sein de la formation bavaroise semble, lui, définitivement scellé, Karl-Heinz Rummenigge, le président du conseil d'administration, ayant annoncé l'ancien Lensois du côté d'Hanovre. En clôture de cette 15e journée, duel de relégable entre Duisbourg et Nuremberg.

Les 50 candidats : Eric Abidal (Lyon puis FC Barcelone), France. Daniel Alves (FC Séville), Brésil. David Beckham (Real Madrid puis Los Angeles Galaxy), Angleterre. Dimitar Berbatov (Tottenham), Bulgarie. Gianluigi Buffon (Juventus Turin), Italie. Fabio Cannavaro (Real Madrid), Italie. Iker Casillas (Real Madrid), Espagne. Petr Cech (Chelsea), République tchèque. Rogerio Ceni (Sao Paulo), Brésil. Cristiano Ronaldo (Manchester United), Portugal. Deco (FC Barcelone), Portugal. Mahamadou Diarra (Real Madrid), Mali. Diego (Werder Brême), Brésil. Didier Drogba (Chelsea), Côte d'Ivoire. Michael Essien (Chelsea), Ghana. Samuel Eto'o (FC Barcelone), Cameroun. Francesco Fabregas (Arsenal), Espagne. Gennaro Gattuso (Milan AC), Italie. Steven Gerrard (Liverpool), Angleterre. Ryan Giggs (Manchester United), Galles. Thierry Henry (Arsenal puis FC Barcelone), France. Zlatan Ibrahimovic (Inter Milan), Suède. Filippo Inzaghi (Milan AC), Italie. Kakà (Milan AC), Brésil. Frédéric Kanouté (FC Séville), Mali. Miroslav Klose (Bayern Munich), Allemagne. Younis Mahmoud (Algharafa), Irak. Paolo Maldini (Milan AC), Italie. Florent Malouda (Lyon puis Chelsea), France. Lionel Andres Messi (FC Barcelone), Argentine. Shunsuke Nakamura (Celtic Glasgow), Japon. Guillermo Ochoa (America Mexico), Mexique. Andrea Pirlo (Milan AC), Italie. Ricardo Quaresma (FC Porto), Portugal. Raul (Real Madrid), Espagne. Franck Ribéry (Marseille puis Bayern Munich), France. Juan Roman Riquelme (Boca Juniors puis Villarreal), Argentine. Robinho (Real Madrid), Brésil. Ronaldinho (FC Barcelone), Brésil. Wayne Rooney (Manchester United), Angleterre. Paul Scholes (Manchester United), Angleterre. ClarenceSeedorf (Milan AC), Pays-Bas. Carlos Tevez (West Ham puis Manchester United), Argentine. Luca Toni (Fiorentina puis Bayern Munich), Italie. Kolo Touré (Arsenal), Côte d'Ivoire. José Fernando Torres (Atletico Madrid puis Liverpool), Espagne. Francesco Totti (AS Roma), Italie. Ruud van Nistelrooy (Real Madrid), Pays-Bas. Robin van Persie (Arsenal), Pays-Bas. David Villa (Valence CF), Espagne.

Mais c'est kaka le ballon d'or

Source :
ROME (Reuters) - Le Ballon d'Or 2007 sera décerné à Kaka, milieu de terrain offensif du Milan AC et de l'équipe du Brésil, rapporte le Corriere della Sera.
Kaka a été informé par le jury du résultat du vote, organisé chaque année par le magazine France Football, écrit le quotidien italien sur son site internet (www.corriere.it).
Le Brésilien de 25 ans, qui a joué un rôle déterminant lors de la campagne victorieuse du Milan AC en Ligue des champions, est le grand favori.
Le nom du lauréat sera annoncé le dimanche 2 décembre lors d'une cérémonie à Paris.

Pas encore sur que ce soit Kaka le ballon d'or ......
Cricri le sera